“Constats pour 2017, le référencement organique a encore de beaux jours…”
En 2017, en tant qu’Agence SEO, j’ai audité un peu plus de 750 sites Web (soit plus de 2 sites par jour), tous domaines confondus. 750 rapports de performance, de référencement organique, identifiant les problématiques de référencement et proposant des recommandations.
Et voici ce que j’ai observé.
*Dans 15% des cas, les capacités d’indexation du site étaient inopérantes (site bloqué à l’indexation / Robots.txt trop restrictif).
*Dans 27% des cas, le site n’avait AUCUN référencement organique (ou compris entre 0 et 5 mots-clés).
*Pour ceux ayant du référencement organique, 68% d’entre eux présentaient du “désordre organique", donc une trop grande proportion (par rapport à leur positionnement corporatif) de référencement pour des sujets & thématiques sans rapport direct et indirect avec leur offre de service.
*1 fois sur 2, le client avait déjà fait appel à du SEA (référencement payant: Adwords) et 3 fois sur 10 (parmi les 1 sur 2), le budget injecté en SEA équivalait à la création d’un nouveau site Web (entre 3K et 7K) sur une période de 12 à18 mois.
*1 fois sur 10 (parmi le 1 sur 2), la survie du client (de son entreprise) dépendait EXCLUSIVEMENT du SEA (des pubs Adwords).
*2 fois sur 3, le client s’est fait dire que la seule solution à son problème de trafic (la plupart du temps par son agence) était de faire du SEA.
*Enfin, 7 fois sur 10, le client n’avait aucun idée de ce qu’est le référencement organique.
Cette dernière statistique m’amène à corréler avec la réalité de mes rencontres, dans des 5 à 7 et autres événements, où la grande majorité de gens ne comprennent pas pourquoi leur site sort ou pas dans les résultats de recherche.
Le référencement organique est donc une notion encore très méconnue du monde des affaires, ce qui annonce aux référenceurs et autres spécialistes du référencement organique encore beaucoup de travail et d’opportunités dans les années à venir.
Bref … Passons à 2018 !